Le Naufrage Mémoirel de l’Europe
Révisionnisme, Russophobie et Dérive Belliqueuse par Cassandre G
En tant qu’autrice de cet article, je suis une citoyenne préoccupée par l’évolution géopolitique actuelle et par la manipulation croissante des mémoires historiques par certaines élites européennes. Mon point de vue reflète un sentiment populaire de révolte face à ce que je perçois comme une instrumentalisation de l’histoire au service de politiques internationales dangereuses et déconnectées des aspirations profondes des peuples.
Je préfère pour l’instant conserver l’anonymat et publier sous pseudonyme, pour des raisons personnelles, notamment afin de préserver la sécurité de ma famille. Ce choix n’est pas un retrait, mais une protection dans un climat de plus en plus tendu, où la parole dissidente peut entraîner des représailles.
Le pseudonyme que j’ai choisi, Cassandre G., n’est pas anodin. Cassandre, dans la mythologie grecque, est cette figure tragique et lumineuse à la fois, dotée du don de vérité mais condamnée à n’être jamais crue. Elle voit juste, elle dit vrai, mais ses avertissements sont ignorés, au prix du désastre. En endossant ce nom, je revendique ce rôle difficile mais nécessaire : celui de tirer la sonnette d’alarme, même au risque de l’oubli ou du rejet. Car il est parfois plus important d’être juste que d’être entendu.
Cet article, par sa sincérité et sa vigueur, vise à alerter, à susciter la réflexion, et je crois qu’il a pleinement sa place sur un média comme AgoraVox, afin que le plus grand nombre puisse prendre conscience de la menace qui pèse aujourd’hui sur la mémoire historique, et au-delà, sur la paix mondiale.
Il est des moments où l’Histoire, que l’on croyait solidement gravée dans la conscience collective, vacille sous le poids de l’ignorance, de l’orgueil et d’un cynisme politique devenu doctrine. L’un de ces moments, profondément choquant, s’est récemment produit lorsque Kaja Kallas, aujourd’hui commissaire européenne aux Affaires étrangères, a publiquement menacé les États et dirigeants qui participeraient aux commémorations du 9 mai, date de la victoire contre le nazisme.
Ces propos ne sont pas une maladresse. Ils sont révélateurs d’un révisionnisme assumé, d’une haine viscérale maquillée en vertu, et d’une politique étrangère européenne désormais réduite à une seule obsession : provoquer et isoler la Russie, coûte que coûte. Le fait que Kallas soit non élue n’est pas anodin : elle incarne cette technostructure européenne hors sol, coupée des peuples, et animée d’un zèle idéologique dont les relents historiques devraient alarmer tous les esprits lucides.
Faut-il rappeler que l’URSS a perdu plus de 26 millions de vies dans la lutte contre le nazisme, dont 16 millions de civils ? Que sans le front de l’Est, l’issue de la guerre aurait été tout autre ? Faut-il rappeler que cette victoire du 9 mai n’est pas uniquement russe, mais européenne, humaine, universelle ? Qu’elle marque la défaite du mal absolu, et que toute tentative de la souiller ou de l’effacer constitue un acte ignoble, indigne et profondément dangereux ?
Mais plus que l’indignation, c’est l’analyse froide qu’il faut convoquer. Car le révisionnisme rampant ne naît pas d’un oubli accidentel, mais d’une stratégie mémorielle, souvent liée à un héritage familial, social, ou national refoulé. Kallas, comme tant d’autres figures des élites baltes ou germaniques, s’inscrit dans une longue tradition où la collaboration avec le nazisme fut parfois massive, souvent minimisée, et aujourd’hui recouverte du vernis fragile de l’amnésie choisie.
Ce n’est pas un hasard si certains responsables européens évitent soigneusement de rappeler le rôle de leurs propres pays dans les crimes de la Seconde Guerre mondiale, préférant détourner les commémorations vers un anticommunisme flou, ou vers une diabolisation de la Russie qui finit par gommer les crimes nazis au nom d’une nouvelle croisade morale.
De là à légitimer les néo-nazis ukrainiens comme “défenseurs de la démocratie”, il n’y a qu’un pas — franchi allègrement par certains médias, par des parlementaires, voire par des dirigeants européens. L’envoi de tanks Leopard, les discours martiaux de Macron, le “kit de survie” distribué par une commissaire, la multiplication des budgets militaires délirants (800 milliards d’euros prévus), ne sont pas des signaux de défense : ce sont les symptômes d’une société qui a perdu le lien entre mémoire, réalité et vérité.
Et dans cette frénésie, les citoyens européens eux-mêmes deviennent les otages d’un jeu d’ombres où la peur est cultivée, la paix marginalisée, la vérité travestie. La stratégie est claire : détourner les peuples de leurs souffrances économiques, de leur désillusion politique, en fabriquant un ennemi extérieur absolu. La Russie n’est pas un adversaire géopolitique, mais un exutoire symbolique. Et pour cela, l’Histoire elle-même doit être falsifiée.
Mais l’Histoire ne pardonne pas qu’on la piétine impunément. Il existe, contre ces manipulations, une realpolitik des justes : celle qui refuse la compromission, qui garde intacte la mémoire des résistants, des libérateurs, des anonymes qui se sont battus contre l’absolutisme, le fascisme, la haine. Celle qui ne confond pas l’héritage du nazisme avec les fantasmes d’une croisade moderne.
Alors oui, il est temps de nommer les responsables. De rappeler ceux qui, dans les années 30 et 40, ont soutenu Hitler, collaboré avec lui, ou fermé les yeux sur ses crimes. De dénoncer ceux qui, dans leurs familles, leurs milieux, leurs institutions, ont transmis une mémoire déformée, honteuse, parfois fière, de cette époque. Ce sont souvent les mêmes qui aujourd’hui accusent la Russie de tous les maux, tout en blanchissant l’histoire des véritables criminels.
Et si l’Europe veut encore mériter son nom, elle devra retrouver la voix des justes, et se souvenir que le 9 mai n’appartient pas à la Russie seule, mais à l’humanité entière. Ceux qui veulent l’interdire, le salir, ou l’oublier, ne sont pas les gardiens de la paix : ils en sont les fossoyeurs.
220 réactions à cet article
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Merci pour votre article et bienvenue sur ce site.
Soyez certaine que vous y rencontrerez aussi des commentaires haineux...
Puisque sur ce site ne pas détester Poutine et la Russie en général est considéré comme criminel par beaucoup de commentateurs.
Nous avons même une « auteure » qui prétens que haïr Poutine est une preuve d’amour !
Je sais, c’est ahurissant de sottise...
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@xana
je partage xana !
une nouvelle voix qui nous changera des adorateurs du reich ! -
@xana
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« xana 19 avril 14:40
Puisque sur ce site ne pas détester Poutine et la Russie en général est considéré comme criminel par beaucoup de commentateurs. »
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Il y a quand même Pat’Brav’ qui rétablit bien l’équilibre avec ses copiés/collés quotidiens (quand pas plus fréquents) d’ObservateurContinental et ses rafales de posts si poilants qu’applaudissent une majorité de suiveurs qui cachent vraiment trop bien « détester Poutine et la Russie »
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Xana... t’es pas tout seul à applaudir à l’est, et à dézinguer l’hexagone -
@xana : « Nous avons même une « auteure » qui prétens que haïr Poutine est une preuve d’amour ! »
On va avoir un débat entre deux auteurs : une autrice et une auteure.L’utilisation par une femme de lettres d’une de ces trois formes n’est pas insignifiante, c’est déjà un parti pris.
Auteur est l’usage neutre admis par l’Académie Française pour désigner les auteurs des deux sexes, autrice un barbarisme créé avec une flexion régulière (instituteur-institutrice, sénateur-sénatrice, ambassadeur-amabassadrice, etc) reconnu depuis peu par l’Académie qui fait remarquer que la forme auctoresse, d’un emploi rare, est attestée depuis longtemps, et auteure une cacographie qui a l’inconvénient de ne pas s’entendre, créée par les féministes avec docteure (pour doctoresse, etc.), vendeure (pour venderesse, fonction distincte de vendeuse). -
@Et hop !
On peut aussi imaginer « auteresse » en tant qu’autrice ou auteure ( ce mot ne me choque pas ) indigeste, en s’inspirant de « l’emmerderesse » de Brassens. -
@jakem
« auteure » tout comme « professeure » défie tous les principes habituels du fonctionnement de la langue française. Ce sont de piètres bricolages à la mode. Pour ceux qui ne veulent pas écrire « auteur » avec un genre invariable, « autrice » c’est déjà mieux, même si ça n’a pas été retenu.Pour l’article : C’est aussi ce genre de constatations que j’ai eu en 2014 et qui m’ont profondément dégoûté du politiquement correct hypocrite européen. Maintenant j’ai jeté l’éponge et je ne suis tiré. C’est irrécupérable. Vivement l’effondrement de l’UE.
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Pour saluer votre arrivée et votre pseudo, Les vaticinations de Cassandre et l’entrée du cheval, final du 1er acte des l’opéra de Berlioz « Les Troyens » : http://www.youtube.com/watch?v=K8CFKZKNcVg
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L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie de 1939 à 1941, notamment via le pacte Molotov-Ribbentrop et l’invasion conjointe de la Pologne :- Pacte Molotov-Ribbentrop (23 août 1939) : Ce pacte de non-agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie incluait un protocole secret qui divisait l’Europe de l’Est en sphères d’influence. Il a permis à l’URSS d’annexer les États baltes, une partie de la Roumanie (Bessarabie), et la moitié est de la Pologne.
- Invasion de la Pologne : En septembre 1939, après l’invasion nazie de la Pologne par l’ouest, l’URSS a envahi l’est du pays le 17 septembre, conformément au protocole secret. Cela a conduit à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
- Collaboration économique et militaire : De 1939 à 1941, l’URSS a fourni des ressources (pétrole, céréales, métaux) à l’Allemagne nazie et a permis des échanges militaires, comme l’utilisation de bases soviétiques pour des sous-marins allemands.
L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. En se concentrant exclusivement sur les sacrifices soviétiques à partir de 1941 (après l’invasion nazie de l’URSS via l’opération Barbarossa), l’autrice donne une vision partielle de l’histoire. De plus, elle évite de nuancer le rôle de l’URSS, qui n’a pas été uniquement victime ou héroïque, mais aussi, à une période clé, complice des nazis.L’autrice a raison de souligner l’importance décisive du front de l’Est dans la défaite nazie, un point reconnu par les historiens. Cependant, elle ignore le rôle des Alliés occidentaux (Débarquement de Normandie, débarquement en Sicile, débarquement en Provence, campagnes en Afrique du Nord, bombardements stratégiques), ce qui donne une vision unilatérale.L’article glorifie le rôle de l’URSS sans nuance, diabolise les critiques de la Russie, et utilise des tropes alignés avec des narratifs pro-russes, comme la mention des “néo-nazis ukrainiens”. Cela suggère un parti pris, même s’il est présenté comme une défense de la mémoire historique. L’absence de toute référence au pacte Molotov-Ribbentrop, à l’invasion de la Pologne, ou à la collaboration économique et militaire de 1939-1941 est une lacune majeure. Cela donne une vision biaisée et partielle de l’histoire, qui sert à idéaliser l’URSS.En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, l’autrice compromet sa propre crédibilité et donne l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce qu’elle reproche à ses adversaires...-
@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Merci, rien à ajouter. Votre conclusion est la mienne. Il s’agit d’un article très tendancieux. Cassandre (la vraie), elle, cherchait la vérité !
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Pour se faire son idée par soi-même. Une fiche riche et équilibrée qui ne vous dit pas où est le bien et son contraire en cherchant à vous enfermer dans une propagande ou l’autre mais qui est utile pour mieux comprendre la complexité de la situation et mieux détecter les éléments de propagande.
→ Pacte germano-soviétique
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pacte_germano-sovi%C3%A9tique
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Le débat avec des arguements est très bien, car nous sommes ici pour cela, même si parfois le cadre dépasse le débat et entre dans des attaques personnelles.
Pourriez-vous nous expliquer pourquoi la Russie après avoir collaborée avec le régime nazi a été envahie par les nazis ?
Que s´est-il passé pour que les nazis envahissent la Russie ? -
@Octave Lebel
J’y lis d’ailleurs : "Le 30 septembre 1938, la France et l’Angleterre (représentées respectivement par Daladier et Chamberlain) signent les accords de Munich avec l’Allemagne nazie et l’Italie (représentées respectivement par Hitler et Mussolini), laissant le champ libre aux nazis pour annexer la région des Sudètes en Tchécoslovaquie, peuplée d’importantes minorités allemandes.La proposition de Staline d’envoyer des troupes aider la Tchécoslovaquie se heurte au refus de la Pologne du colonel Józef Beck et de la Roumanie du roi Carol II de laisser passer l’Armée rouge, ces deux pays craignant que les Franco-Britanniques laissent les Soviétiques occuper leurs territoires au mépris des traités de Rīga et Paris.
Ribbentrop signe le 6 décembre 1938 avec le gouvernement français, représenté par Georges Bonnet, une déclaration exprimant leur volonté de collaboration pacifique".
C’est seulement le 23 août 1939 que ce signe le pacte germano-soviétique. Mais le reste avant, ça ne compte jamais... bizarre...
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie »
Je peux me tromper mais il me semble qu’il ne s’agissait pas d’un pacte de collaboration mais d’un pacte de non-agression.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. »
Vous ne parlez pas non-plus de l’aide américaine à l’Allemagne dès la fin de la première guerre mondiale et jusqu’en 1944…
En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, vous compromettez votre propre crédibilité et vous donnez l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce que vous reprochez à vos adversaires...
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@Durand
Effectivement, ce n’était pas un pacte de non-agression mais un pacte de collaboration (très) active. Je vous invite à faire quelques recherches. Avec Internet, c’est très facile ! Sinon, mon article de demain concernera le pacte Ribbentrop-Molotov et tous ses accords secrets.
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@Durand
Pouvez-vous être plus clair ? Qu’est-ce que vous ne comprenez pas à mon message initial qui est pourtant limpide, il me semble ?
« L’autrice omet de faire référence à la collaboration entre l’URSS et l’Allemagne nazie de 1939 à 1941, notamment via le pacte Molotov-Ribbentrop et l’invasion conjointe de la Pologne :- Pacte Molotov-Ribbentrop (23 août 1939) : Ce pacte de non-agression entre l’URSS et l’Allemagne nazie incluait un protocole secret qui divisait l’Europe de l’Est en sphères d’influence. Il a permis à l’URSS d’annexer les États baltes, une partie de la Roumanie (Bessarabie), et la moitié est de la Pologne.
- Invasion de la Pologne : En septembre 1939, après l’invasion nazie de la Pologne par l’ouest, l’URSS a envahi l’est du pays le 17 septembre, conformément au protocole secret. Cela a conduit à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
- Collaboration économique et militaire : De 1939 à 1941, l’URSS a fourni des ressources (pétrole, céréales, métaux) à l’Allemagne nazie et a permis des échanges militaires, comme l’utilisation de bases soviétiques pour des sous-marins allemands.
L’article ne mentionne aucun de ces faits, ce qui constitue une omission significative. En se concentrant exclusivement sur les sacrifices soviétiques à partir de 1941 (après l’invasion nazie de l’URSS via l’opération Barbarossa), l’autrice donne une vision partielle de l’histoire. De plus, elle évite de nuancer le rôle de l’URSS, qui n’a pas été uniquement victime ou héroïque, mais aussi, à une période clé, complice des nazis.L’autrice a raison de souligner l’importance décisive du front de l’Est dans la défaite nazie, un point reconnu par les historiens. Cependant, elle ignore le rôle des Alliés occidentaux (Débarquement de Normandie, débarquement en Sicile, débarquement en Provence, campagnes en Afrique du Nord, bombardements stratégiques), ce qui donne une vision unilatérale.L’article glorifie le rôle de l’URSS sans nuance, diabolise les critiques de la Russie, et utilise des tropes alignés avec des narratifs pro-russes, comme la mention des “néo-nazis ukrainiens”. Cela suggère un parti pris, même s’il est présenté comme une défense de la mémoire historique. L’absence de toute référence au pacte Molotov-Ribbentrop, à l’invasion de la Pologne, ou à la collaboration économique et militaire de 1939-1941 est une lacune majeure. Cela donne une vision biaisée et partielle de l’histoire, qui sert à idéaliser l’URSS.En omettant des faits historiques clés et en adoptant un ton polarisant, l’autrice compromet sa propre crédibilité et donne l’impression d’une instrumentalisation de l’histoire à des fins idéologiques, précisément ce qu’elle reproche à ses adversaires... ». -
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Le pacte Molotov-Ribbentrop a permis aux USA d’aider militairement et de manière décisive l’armée soviétique :
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@Durand
Il s’agit d’une conséquence indirecte : c’est après l’opération Barbarossa que les Etats-Unis ont accepté d’aider l’URSS, de 1941 à 1945.
Avant 1941, les États-Unis n’envisageaient absolument pas d’aider l’URSS, car ils n’étaient pas en guerre et voyaient l’URSS comme un partenaire douteux en raison de son alliance de fait avec Adolf Hitler. Les Etats-Unis n’étaient pas au courant du protocole secret, qui ne sera dévoilé qu’à la fin des années 1980 par Mikhaïl Gorbatchev
L’invasion de l’URSS par l’Allemagne nazie le 22 juin 1941 (Opération Barbarossa) a mis fin au Pacte Ribbentrop-Molotov. L’URSS est devenue un ennemi de l’Allemagne et, par extension, un allié potentiel des puissances occidentales, dont les États-Unis.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« Avant 1941, les États-Unis n’envisageaient absolument pas d’aider l’URSS »
Je n’ai pas dit le contraire… Par contre, DÈS LES ANNÉES 20 et jusqu’en 1944, les États Unis ont largement financé les nazis. Une grande partie des capitaux passaient de wallstreet à Berlin via l’Angleterre et la Hollande.
De nombreuses technologies et de nombreux brevets ont également franchi l’Atlantique dans l’entre-deux guerres. De mémoire, le brevet BUMA, pour fabriquer du caoutchouc à partir du charbon et aussi, la technologie “sans plomb“ (ou avec ?) pour la Luftwaffe…
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« c’est après l’opération Barbarossa que les Etats-Unis ont accepté d’aider l’URSS, de 1941 à 1945. »
Non, le prêt-bail c’est en Mars 41, Barbarossa c’est en Juin…
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@Durand
’’de nombreux brevets ont également franchi l’Atlantique dans l’entre-deux guerres ’’
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Un brevet n’est pas un secret : c’en est même tout le contraire. En revanche il n’est pas permis de l’exploiter sans licence d’exploitation, càd un contrat commercial passé avec le titulaire du brevet. -
sur un média comme AgoraVox, afin que le plus grand nombre puisse prendre conscience de
A ce propos, je pense que tu te fais des illusions, beaucoup de gens ont déserté ce site. Je suppose qu’ils ont été déçus par la « qualité » des échanges ( invectives, insultes, idéologues forcenés... ).
Quant au reste, « que sera sera.. » selon la chanson
il est courant de dénoncer
— l’illettrisme des générations,
— l’hédonisme consumériste,
— l’individualisme
mais, je ne suis pas certain que le moment venu, les Oligarchies ne seront pas en mesure d’aligner les populations pour une confrontation... ( Paul Valery )
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@Mustik
Je partage et j’écris souvent pour moi, de petites notes pour fixer mes idées sur le papier. Je les mets sur Avox comme une bouteille à la mer.
Merci pour la citation de Valery. Je propose celle de Montaigne étudiant dans sa tour. Il comparait ses idées aux rongeurs qu’il entendait dans son grenier. Il fixait ses idées pour arrêter leur sarabande. J’aime l’image.
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Merci pour votre article nécessaire. Et bon courage.
Il y en avait un qui avait apparemment des dons de divination, c’est le maréchal Gueorgui JOUKOV qui en parlant des occidentaux a dit le 9 mai 1945 :
« Nous les avons libérés du nazisme, ils ne nous le pardonneront jamais »
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« De rappeler ceux qui, dans les années 30 et 40, ont soutenu Hitler »
Moscou, au hasard ? Qui s’était allié à Hitler ? Ou bien est-ce du révisionnisme que de le rappeler ?
Tu nous parleras aussi des néonazis du groupe Wagner ?
Du nazisme de Douguine, conseiller de Putin ?
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@Goldo Du
En effet, l’auteure illustre ainsi son ’ naufrage mémoriel ’ et l’orientation partiale de son billet pro Putin. Tous les éléments de langage sont présents et y’a du gras partout.Sur agogoravox, on avait déjà le groupe Bravo et sa propagande quotidienne issue directement du kremlin , apparemment Cassandre reprend le flambeau...
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@Astrolabe
surtout que le compte a été ouvert sous le pseudo « gilles-dem » et changé immédiatement en cassandre... -
@armand
Un nouveau troll issu des plaines slaves à la solde du pouvoir russonazi de Putin.
Bref, un nouvel enfant de Putin. -
@Astrolabe
La question que j´aimerai vous poser serait de savoir si Agoravox a été créer pour être contre le Kremlin.
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@microf
C’est cybion de rire un peu !
Le miel est en premier lieu la propriété des abeilles qui le produisent.
Le pot de miel quant à lui est approprié par ceux qu’il attire.. -
@Goldo Du
Ceux qui ont soutenu Hitler ? C’est ici :
http://www.agoravox.fr/commentaire6824410 -
Il est curieux de constater sur ce site le nombre la concentration de supporters a la guerre d’invasion de l’Ukraine décidée par Putin il y a maintenant 3 ans.
Soutenus par l’extrême-droite française, ces gens là n’ont que faire des centaines de milliers de morts résultant de cette invasion russe.
A propos de révisionnisme :
Vladimir Poutine, le révisionnisme et la guerre
« Le révisionnisme de Poutine et la véritable histoire de la nation ukrainienne »
etc...
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@Astrolabe
d’où la question : à qui appartient ce site ? -
@Astrolabe
Copié-collé : « Il est curieux de constater sur ce site le nombre la concentration de supporters a la guerre d’invasion de l’Ukraine décidée par Putin il y a maintenant 3 ans. ».
Il est curieux de lire un tel commentaire qui ne fait strictement aucune mise en perspective comme « si » la Russie avait décidé d’envahir une partie du territoire ukrainien, d’un seul coup d’un seul, sans que rien, absolument rien, ne motive cet acte de guerre.
Astrolabe il vous arrive de réfléchir au delà de l’image d’Epinal ?
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@armand
C’est une très bonne question et il semblerait qu’un jour ce site fut reconnu d’utilité publique en Belgique.. !? -
@Legestr glaz
Restez svp dans votre domaine du revisionnisme scientifique ou vous niez l’existence même des viruscomme le montre votre historique !
Ceci dit entre révisionnistes, vous pouvez créer des ponts, agogoravox est fait pour ça ! -
@Astrolabe
Vous ne répondez pas à la question. Tandis que moi, je vais répondre à la vôtre.
Le jour où vous trouverez une étude virologique qui utilise des contrôles négatifs, faites moi signe.
Les virus sont des artefacts biologiques jusqu’à preuve du contraire. Que cela vous plaise ou non. Et si la virologie refuse d’appliquer la rigueur scientifique à travers des contrôles négatifs, vous avez bien le droit de croire en cette pseudo science.
Par exemple. L’étude d’Enders et Peebles de 1954, qui a servi de base à toute la virologie de la rougeole, n’a pas intégré de contrôles négatifs stricts permettant d’exclure que l’effet cytopathique observé soit un artefact de la méthode.Les auteurs eux-mêmes ont reconnu cette limite, mais ont néanmoins conclu à l’isolement du virus.
Selon les standards actuels, cette absence de contrôles est une faiblesse majeure, qui n’a jamais été corrigée dans la littérature dominante. -
@Legestr glaz « Le jour où vous trouverez une étude virologique qui utilise des contrôles négatifs, faites moi signe. »
Un bel exemple de naufrage dans le ridicule !
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@Astrolabe : « invasion de l’Ukraine décidée par Putin »
En français son nom s’écrit Poutine (comme Pouchkine, Staline, Lénine), Beijing Pékin, et London Londres. -
@pemile
J’attends avec impatience de lire « l’étude scientifique » qui évoquera un contrôle négatif. Vous avez la main pemile ! Nous allons bien rigoler ! Vous allez rengorger votre émoticône !
Sortez les rames pemile !
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@Legestr glaz « Vous allez rengorger votre émoticône ! »
Et que tu oses tenter d’utiliser Enders, prix Nobel pour avoir simplifié la mise en culture de virus en 1949, pour nous vendre tes âneries sur l’inexistence des virus est caractéristique du naufrage d’AVox !
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@pemile
Pas d’étude avec contrôle négatif pemile. Vous pissez dans un violon. Je vais donc attendre longtemps puisque ces études n’existent pas. Et c’est bien l’immense problème de la virologie. Elle fait des hypothèses qu’elle transforme en certitude ! Une mauvaise plaisanterie.
Si vous avez le moindre argument concernant des contrôles négatifs réalisés en virologie, venez nous les présenter. Vous êtes pris à votre propre piège, comme les virologues devant Stefan Lanka. Les âneries, pour le moment, c’est vous qui les proférez.
Lorsque l’on prétend quelque chose du genre : « les virus ont un effet cytopathique » alors on le prouve avec un contrôle témoin. Prétendre que l’effet cytopathique est le fait de « virus », sans le moindre contrôle négatif, ce n’est pas de la science c’est du charlatanisme !Les virus des virologues sont les « épicyles » de l’époque du géocentrisme. Ils viennent tenter de justifier l’action pathogène lors de maladies en fournissant des explications alambiquées et totalement déconnectées de la réalité biologique.
Si vous connaissez le principe du rasoir d’Ockham, il serait temps de l’appliquer !
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@Legestr glaz " Lorsque l’on prétend quelque chose du genre : « les virus ont un effet cytopathique » alors on le prouve avec un contrôle témoin. "
Qui penses tu pouvoir abuser en tournant ainsi en rond ???!!! -
@pemile
Ce sont les virologues qui tournent en rond avec leur raisonnement circulaire pemile, pas moi ! La virologie est une pétition de principe !
Toujours pas d’étude qui prouve que l’effet cytopathique constaté est le fait de « virus » ? Rien à l’horizon pemile ? Vous séchez lamentablement comme toute la communauté des virologues qui voit leur mystification mise à jour ?
Maintenant pemile, soit vous avez une seule étude qui montre un effet cytopathique dans une étude qui a mis en place un contrôle négatif, et je la lirai avec plaisir, soit vous n’en avez pas, et vous n’en avez pas parce que cela n’a jamais été fait, et vous allez raser les murs. Lorsque l’on affirme que les « virus » existent, il faut venir avec des preuves, pas des hypothèses et des supputations !
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@pemile
Vous gagneriez en visibilité en montrant le contenu de vos liens. Alors je vous viens en aide :
pemile 26 février 11:57@Legestr glaz « « Une solution serait, pour la virologie, afin de s’aligner sur la « rigueur scientifique », d’opérer des contrôles négatifs. Ainsi, il serait tout à fait possible de réaliser un « prélèvement » sur une personne « malade » et un autre sur un personne « saine » et de soumettre, à l’aveugle, ces deux prélèvements au même processus de culture. Si les résultats sont différents, c’est que ceci signale la présence d’un agent pathogène. Mais ce protocole n’est jamais suivi. La virologie s’exonère de ce type de contrôle négatif et se rend ainsi coupable d’approximations et de biais méthodologiques. »
Oulalalalalalalala ! Sérieux ? Et tu veux ensuite pleurnicher quand on te dit que tu ne racontes que des conneries ridicules ???!!!
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@Legestr glaz « Parce qu’aucune étude de la recherche virologique ne met en place de contrôle »
Que dire d’autre que
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@Legestr glaz « Lorsque l’on affirme que les « virus » existent, il faut venir avec des preuves »
Une seringue d’un échantillon de sang d’un séropositif pour te faire courir ou raser les murs ?
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@Legestr glaz
@Astrolabe
Vous ne répondez pas à la question. Tandis que moi, je vais répondre à la vôtre.
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Faut avouer que avec 25 millions de morts coté Russe pour lutter contre le Nazisme c’est assez difficile à soutenir et de repondre
Comme il est assez difficile à expliquer les nombreuses statues encore présentes de Bandera en Ukraine et ses milices nazies qui défilent chaque année au flambeau et en pleine rue...
Comme il est tout aussi difficile de parler du zele et je suis modeste a envoyer a Dachau (etc) tout ce qui sentais le Juif jusqu’a meme la en ce moment d’enlever tous les batiment s’y référants pour les effacer totalement de leur histoire
Cela me fais bcp sourire lorsque l’extreme gauche sucotte les bottes à clous du national socialisme ou elle regrette aussi et en meme temps les periodes des masscres de l’extreme gauche par 10enes de millions de morts de Staline, Polpot et gtant d’autres
Comme cette extreme gauche qui nous vantes les joies du crédit social à la Chinoise qui embastille les populations sans forme de proces, celle qui s’assoie aussi joyeusement sur le traité de Nuremberg pour le libre arbitre d’etre multi injecté ou pas ...
Qui désormais en plus est ravie d’etre antisémite comme autrefois on ne change pas une equipe qui gagne, ici épinglée par frontieres et il n’y a pas tout
http://youtu.be/Us686UsMTZIComme dirais l’autre on ne change pas une équipe qui gagne et on retoune invariablement à ses fondamentaux ...
La ca continue avec l’embastillement par milliers d’opposants à l’extreme gauche au Venezuela avec Maduro et etrangement nous n’entendons jamais ces personnes éprises de libertés et de démocratie parler de ce dictateur sanguinaire et de son régime .... -
@pemile
Que dire d’autre ? Et bien que vous êtes sec ! Vous ne disposez d’aucune étude qui montre que la virologie utilise des « contrôles négatifs » pour s’assurer que l’effet cytopathique n’est pas le résultat de la méthode utilisée.
C’est pathétique ! Il n’existe aucune preuve, la virologie est totalement décrédibilisée et vous demandez « que dire d’autre » ? Et bien vous taire par manque d’argument ! Le piège s’est refermé sur vous comme il s’est refermé sur tous les virologues incapables d’utiliser une méthode scientifique fiable.
La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre. -
@pemile
Je vais vous dire un secret pemile : toute molécule du « non soi » introduite dans la circulation sanguine va être à l’origine de la production d’anticorps. Parce que l’organisme humain sait faire, toujours et tout le temps, la distinction entre « le soi » et le « non soi ».
Ainsi, comprenez bien que je n’ai aucune envie de m’introduire, selon votre « prescription », des molécules du « non soi » dans mon organisme.
La défense immunitaire de première ligne est particulièrement efficace. Lorsqu’elle cède, l’organisme est en danger. C’est dans cette perspective que la découverte des « antibiotiques » a été salvatrice pour l’être humain. Les molécules du « non soi », comme des bactéries, leurs toxines, ou des mycotoxines, qui pénétraient lors d’une blessure dans la circulation sanguine, pouvaient désormais être combattues avec vigueur.
Avant l’usage de la pénicilline, des infections aujourd’hui banales (angine streptococcique, pneumonie, syphilis, infections post-opératoires) étaient souvent mortelles. Des chercheurs ont avancé que les antibiotiques, dans leur ensemble, pourraient avoir sauvé entre 100 et 200 millions de vies au 20e siècle. -
@Legestr glaz
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« La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre. »
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Mais l’anti-virologie est une maladie chronique avec des poussées quotidiennes qui se manifestent par une logorrhée écrite mono maniaque -
@Legestr glaz " Ainsi, comprenez bien que je n’ai aucune envie de m’introduire, selon votre « prescription », des molécules du « non soi » dans mon organisme. "
T’es aussi témoin de jehovah et contre les transfusions sanguine ? Pourtant cela serait une excellente opportunité de faire des contrôles positifs/négatifs aidé par Michel Garretta !
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@Legestr glaz « Je vais vous dire un secret pemile »
Que tu tournes en rond sans fin en ânonnant les mêmes délires ridicules depuis des années n’est plus un secret !
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@pemile
« En mai 2017, à Berlin, pour la première fois de l’histoire, tous les ministres de la Santé des pays du G20 se trouvent réunis. À quoi se livrent-ils ? À un grand exercice de simulation de pandémie – un MARS (Mountain Associated Respiratory Syndrom) ce coup-ci – « pour faire face à la menace bioterroriste », une nouvelle fois. Il ne manque, à ce petit raout, ni le représentant de l’OMS, ni celui de la fondation Gates ou du Wellcome Trust – l’une des fondations les plus influentes mondialement en matière de politiques de santé –, ni Christian Drosten, le virologue en chef des plateaux télé allemands depuis mars 2020.
En mai 2018, c’est l’exercice Clade X à Washington autour d’un virus imaginaire qui aurait la létalité du SARS mais la transmissibilité de la grippe. Il aurait été fabriqué en laboratoire par une secte apocalyptique japonaise visant à réduire la population mondiale. Dans la simulation, cette « plus grave pandémie depuis celle de 1918 » tuait 900 millions d’humains. C’est Tara O’Toole, l’auteur des scénarios Dark Winter, Atlantic Storm qui y jouait cette fois la secrétaire à la Sécurité intérieure. En guise de bilan, elle se désole comme toujours : « Nous sommes dans un âge d’épidémies, mais nous ne les traitons pas comme les questions de sécurité nationale qu’elles sont. »
De janvier à août 2019, c’est la Crimson Contagion, une série de quatre simulations impliquant dix-neuf agences fédérales et toutes sortes d’acteurs privés dans douze États différents. C’est un virus respiratoire du type de la grippe provenant de Chine qui déclenche, cette fois, la pandémie. L’exercice est coordonné par Robert Kadlec, l’assistant du président Trump pour la lutte contre les épidémies. Enfin, en octobre 2019, c’est le trop fameux Event 201. »
La suite on la connait pour l’avoir vécue. -
@pemile
Vous contestez l’idée du « soi » et du « non soi » ? Vous avez du retard à l’allumage pemile ! Mettez vous au parfum !
En revanche, vous validez l’idée de l’existence virale. C’est plus enfantin comme approche, et plus facile d’accès. Les « virus » sont méchants, causent de vilaines pandémies, se propagent insidieusement en venant de Chine, et les humains se contaminent les uns les autres. Et, hormis une « bonne vaccination », il n’y a rien à faire. Les « virus » expliquent les maladies « transmissibles », comme les « épicycles » expliquaient comment le soleil tournait autour de la Terre. C’est pas bien compliqué la science à la pemile ! -
@Legestr glaz « Vous contestez l’idée du « soi » et du « non soi » ? »
Dans ton post délirant qui parle de « molécules » ?
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@Francis, agnotologue
Les virus « expliquent » tout. Ils sont à l’origine de « pandémies », parfaitement invisibles, mais l’OMS, et tous les experts réunis, parviennent à identifier ces pandémies. Un « virus » qui contamine la planète entière. De quoi frémir !
Extrait : « ... Les surinfections bactériennes surviennent habituellement 4 à 7 jours après les premiers symptômes grippaux et peuvent persister pendant plusieurs semaines. Elles touchent environ un tiers des patients grippés qui ont été hospitalisés en soins intensifs. Elles ont le plus souvent pour origine une surinfection par Streptococcus pneumoniae (le pneumocoque), Staphylococcus aureuset Haemophilus influenzae. S. pneumoniae, dont il existe plus de 90 sérotypes, représente la première cause de pneumonies bactériennes chez l’homme. Des examens post-mortem ont ainsi indiqué que la majorité des décès survenus lors de la grippe espagnole avait pour origine des surinfections bactériennes, notamment due au pneumocoque. L’infection secondaire par les bactéries se traduit par une exacerbation de l’inflammation pulmonaire (pneumonie) et par un déclin des fonctions respiratoires. Les bactéries à tropisme respiratoire peuvent secondairement disséminer dans l’organisme, pouvant entraîner possiblement une septicémie. Les mécanismes de cet effet additif, voire synergique, entre le virus et la bactérie sur la symptomatologie sont encore peu compris. »...
Oui, les bactéries et les toxines bactériennes sont dangereuses pour l’organisme humain. Quant aux « virus » et bien, comme indiqué, on cherche toujours ! Le foutage de gueule est total.
Je vais tenté prochainement de présenter un article sur « l’hydroxychloroquine » et comment Didier Raoult avait raison mais sans avoir compris les mécanismes biologiques en jeu. Et ceci parce qu’il pense « virus » et qu’il réfléchit « virus ». Impossible pour lui de sortir de ce paradigme.
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@pemile
C’est délirant parce que vous ne comprenez pas.
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@Legestr glaz « C’est délirant parce que vous ne comprenez pas. »
L’utilité de maîtriser antigènes et anticorps lors des transfusions sanguines ? Ou que toute perfusion est source de « molécules » de non-soi ? -
@Legestr glaz
’’ Didier Raoult (...) pense « virus » et qu’il réfléchit « virus ». ’’
— >
Et surtout : il en vit.
Il inventorie les mutations ... des artefacts. -
@Francis, agnotologue
« Déclaration de pandémie mondiale -> confinement ->restriction insensée
des libertés ->restructuration des habitudes ->
accélération
technologique ->reprise en main des réseaux sociaux ->
vaccination
biotechnologique ->« pass sanitaire » ->
identité numérique ->
environnements
connectés ->numérisation générale ->
traçage ubiquitaire ->
société de contrôle ...
un enchaînement somme toute logique est prévu, dont au moins la première
moitié a été amplement répétée.
Il y a des étapes dans le plan. Nul n’est censé y contrevenir. Nul n’est censé se mettre sur son chemin. C’est donc exactement ce qu’il nous faut faire. »
Grippe, nouvel ordre mondial : « Nous irons ensemble vers un nouvel ordre mondial et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer » (N. Sarkozy, 16/01/09) -
@pemile
Réfléchissez pemile ! Une injection de vitamine C ne portera pas à conséquence, la vitamine C est reconnue par l’organisme.
Ne vous faites pas plus bête que vous ne l’êtes en écrivant des inepties comme : « toute perfusion est source de »molécules" de non-soi ! C’est totalement stupide. Mais rien ne m’étonne venant du Cerbère d’Agoravox.
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@Francis, agnotologue
Et oui, les « virus » sont un excellent outil pour des dirigeants à tendance totalitaire ou dictatoriale. Ils sont vraiment très pratiques. Eliminer ces virus « scientifiquement parlant », c’est tuer la poule aux oeufs d’or.
Sur les sur-infections bactériennes.
... Une étude française a révélé que 28 % des patients admis en unité de soins intensifs (USI) pour une pneumonie sévère à SARS-CoV-2 présentaient une co-infection bactérienne au moment de l’admission. Les pathogènes les plus courants étaient Staphylococcus aureus, Haemophilus influenzae, Streptococcus pneumoniaeet des entérobactéries....
... Une étude a révélé que 32,8 %des patients COVID-19 en soins intensifs présentaient une co-infection fongique. Candida était le champignon le plus fréquemment isolé (24,1 %), suivi par Aspergillus(4,3 %)... -
@Legestr glaz « la vitamine C est reconnue par l’organisme. »
wiwi, et la pénicilline aussi ! -
@Legestr glaz
C’est ça !
Allez exposer vos théories à D. Raoult que je me marre !
Entre nous : les atomes sont invisibles mais allez vous contester la matière ?
Non , ne me répondez pas , merci bien ! -
@chantecler
N’intervenez pas si vous ne voulez pas de réaction. Je fais simple.
Vous ne vous êtes jamais intéressé à la biologie ou à la biochimie. Et vous avez un avis sur la question. Vous êtes trop fort chanceler, c’est à ça qu’on vous reconnait. Merci bien !
Les virus sont des artefacts biologiques, ce qui veut dire que c’est la méthode qui produit le résultat. L’effet cytopathique est produit par la méthode et non par des virus invisibles. Mais, si vous voulez croire en ces « méchants virus » qui contaminent l’humanité, c’est votre droit le plus absolu. Les enfants ont bien le droit de croire au Père Noël. Personne ne leur en fait grief. C’est bien d’avoir gardé une âme d’enfant chanteclerc !
Vous êtes vous « intéressé » au « stress oxydatif » ? Avez vous progressé dans ce domaine ?
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@Legestr glaz
Non, maître mais je ne vous ai rien demandé .
Par ailleurs j’ai mes propres sources, apparemment pas les vôtres . -
@chantecler
Je ne vous ai rien proposé ! Je vous ai posé une question simple.
Vous avez des raisonnements d’enfant chanteclerc. Savez vous que je crois en la gravitation universelle ? Etonnant non ? Et on ne la voit pas ? Etonnant non ?
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@chantecler
Copié-collé : « Allez exposer vos théories à D. Raoult que je me marre ».Le principe d’autorité exposé en pleine lumière. Vous n’y comprenez rien, mais la blouse blanche vous impressionne ! Je me marre, comme vous dites !
L’hydroxychloroquine est un « ionophore » (indirect) du zinc. C’est parfaitement connu. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Et bien que l’hydroxychloroquine facile l’entrée du zinc dans la cellule. Et alors me direz vous chanteclerc, et vous aurez raison. Et bien, le zinc est utile, très utile, à une enzyme particulière : l’enzyme de conversion de l’angiotensine II. Ce faisant, pour faire court, cette enzyme « dépendante » du zinc, permet à l’organisme de produire une vasodilation des vaisseaux en transformant l’action « vasoconstrictrice » de l’angiotensine II en action « vasodilatatrice ».
Cette action vasodilatatrice de l’ACE2 est absolument déterminante dans les maladies respiratoires. Elle permet de lutter contre l’hypoxie et la détresse respiratoire. Ainsi, l’hydroxychloroquine, en favorisant l’entrée du zinc dans la cellule, permet une grosse production d’ACE2 et permet de lutter contre la vasoconstriction, de lutter contre l’hypoxie, de lutter contre la détresse respiratoire aiguë. L’hydroxychloroquine n’a aucune action sur des virus-artefacts mais elle a un sens profond en biologie puisqu’elle accentue la vasodilation lorsque certaines circonstances l’imposent.
Ainsi, en période de covid19, le choix « hydroxychloroquine + zinc + antibiotique » était une bonne option pour lutter contre le stress oxydatif, l’ischémie, l’hypoxie et la détresse respiratoire. Mais pas de « virus à l’horizon » !http://www.nature.com/articles/hr2010235
... « Cependant, dans des conditions pathologiques ( b), un excès de •O 2 −, principalement produit par la NAD(P)H oxydase, stimule la vasoconstriction et l’inflammation, entraînant un dysfonctionnement endothélial, principalement par la réduction de la biodisponibilité du •NO et le déséquilibre entre les ROS et la capacité antioxydante. Ainsi, le SRAA classique est un puissant système prooxydant dans les vaisseaux, provoquant un dysfonctionnement endothélial. L’axe ACE2–Ang-(1–7)–Mas contrecarre ces effets ».…
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@Legestr glaz
Merci de toutes ces info, petite video pour un début de changement de direction, pas pour vous car déjà fait bien sur.. :
http://www.youtube.com/watch?v=8w9mcHZoZVI -
@pemile
Depuis plusieurs décennies, les discours dominants sur les épidémies respiratoires se concentrent quasi exclusivement sur les agents infectieux, en particulier les « virus ». Ce paradigme, soutenu par des politiques sanitaires fondées sur le contrôle viral, évacue des éléments environnementaux pourtant déterminants. La pollution atmosphérique , et plus spécifiquement les épisodes d’inversion thermique, occupe une place marginale dans l’analyse publique, alors même que leur impact sur la santé respiratoire est massif.
Or, il n’existe aucun épisode documenté d’augmentation soudaine et massive des pathologies respiratoires (pneumonies, syndromes grippaux, COVID-19, crises d’asthme, maladies cardio-respiratoires) sans que l’on puisse observer, au même moment, une dégradation significative de la qualité de l’air, souvent exacerbée par des conditions météorologiques particulières telles que les inversions thermiques. Ces phénomènes bloquent les polluants dans les basses couches de l’atmosphère, augmentant mécaniquement l’exposition des populations à des concentrations dangereuses de particules fines, d’ozone, de dioxyde d’azote, et autres composés nocifs.
Et pourtant, dans l’analyse des vagues de maladies respiratoires, l’effet déclencheur de ces épisodes de pollution reste systématiquement négligé. L’attention se porte exclusivement sur les « agents viraux », dont la preuve d’action autonome reste pourtant indirecte, fondée sur des corrélations statistiques, des déductions in silico, et des méthodologies discutables. En revanche, les conditions physico-chimiques réelles, objectivables, respirées chaque jour, sont largement absentes des modèles de prévision et des politiques de prévention.
L’inversion thermique, en particulier, est un phénomène physique méconnu du grand public, mais bien documenté en météorologie et en sciences de l’atmosphère. Lorsqu’elle survient, une couche d’air chaud surplombe une couche d’air plus froid près du sol, inversant le gradient thermique habituel. Cette configuration bloque la dispersion verticale des polluants et piège les toxiques respirés en continu par les populations pendant plusieurs jours. Ces pics d’exposition intenses et prolongés sont corrélés à des hausses d’hospitalisations pour causes respiratoires, à une mortalité accrue chez les personnes fragiles, et à une dégradation globale de la qualité de vie.
Il ne s’agit plus seulement de reconnaître que la pollution « favorise » des infections : il faut admettre qu’elle provoque à elle seule des affections multifactorielles, inflammatoires, immunitaires, respiratoires et cardiovasculaires. La « maladie aérotoxique » est une entité pathologique autonome, déclenchée par l’inhalation chronique ou aiguë de composés atmosphériques toxiques.
Plutôt que d’intégrer ces données environnementales dans les politiques de santé publique, l’approche dominante reste focalisée sur la lutte contre des entités biologiques, invisibles, souvent modélisées plus que directement observées. On mène une guerre contre des « virus », mais on ignore les conditions physiques et chimiques qui dégradent directement et concrètement la santé humaine.
Il ne s’agit pas simplement de relativiser l’influence des agents infectieux. Il s’agit de changer de paradigme. De reconnaître que les véritables agents pathogènes contemporains ne sont pas nécessairement des « virus ». Ce sont, bien plus concrètement, les molécules inertes mais toxiques — oxydes d’azote, composés organiques volatils, particules fines et ultrafines, ozone troposphérique — que l’on respire chaque jour, en concentration parfois délirante. Ces substances agissent directement sur les épithéliums, sur les poumons, sur le cœur. Elles provoquent inflammation, dysfonction immunitaire, stress oxydatif, décompensations chroniques et exacerbations aiguës.
Ces polluants sont la maladie. Ils ne sont pas un simple « terrain », ni un « co-facteur », ni une variable de confusion. Ils sont les acteurs, le déclencheur et l’agent pathogène principal. Le reconnaître, c’est poser les bases d’une médecine environnementale réellement préventive. C’est aussi sortir d’une obsession du « virus » pour affronter un autre acteur invisible, tout aussi dangereux : l’air que nous respirons.
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@Legestr glaz
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"Legestr glaz 24 avril 09:16
.../..sortir d’une obsession du « virus »
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Sortir de l’obsession quotidienne du virus... chiche
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@Legestr glaz
Tu sais que t’es pitoyable en voulant utiliser la pollution de l’air, dont la nocivité est reconnue par tout le monde, comme argument pour nier l’existence des virus ?
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@pemile
Pas du tout, les « virus » sont des artefacts biologiques, des chimères ! Et oui. -
@PaulAndréG (PàG)
Comprendre les interactions de la pollution avec l’organisme, c’est mieux appréhender la maladie et se donner les possibilités de la soigner. C’est comprendre que les infections respiratoires entrainent un déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite.
Je dis ça, je dis rien. Si vous voulez vous faire vacciner, ce n’est surtout pas mon problème. C’est tout ce que je dis.
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@pemile
Je vois que je vise juste à chaque fois. Le cerbère pointe son nez systématiquement.
Il faut que ce changement de paradigme de pensée ne parvienne pas jusqu’aux populations. Et cerbère fait bonne garde. Il est très fort cerbère, il sait employer des mots comme « clown » ou « pitoyable » ! Ce sont des arguments puissants !
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@pemile
La pénicilline est une toxine synthétisée par certaines espèces de moisissures du genre pénicillium. Et, parce que c’est une « toxine », c’est à dire une molécule du « non soi », elle déclenche la production d’anticorps, faiblement parce que c’est une molécule de faible poids moléculaire, mais quand même des IgE.
La pénicilline, comme d’autres médicaments, est perçue comme un antigène par le système immunitaire. Bien que la pénicilline soit une molécule relativement simple, elle peut être associée à des protéines de l’organisme, formant ce qu’on appelle un complexe antigène-protéine. Le processus de sensibilisation implique la production d’anticorps spécifiques, en particulier des immunoglobulines E qui peuvent déclencher des réactions allergiques.
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@Legestr glaz « Je vois que je vise juste à chaque fois. »
Toutafé, au centre d’un ridicule qui tourne en rond !
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@Legestr glaz « Pas du tout, les « virus » sont des artefacts biologiques, des chimères ! »
Mais tu n’es toujours pas prêt à le prouver en t’infectant avec le sang d’un séropositif ? -
@pemile
Toute molécule du « non soi » introduite dans l’organisme par injection va être à l’origine de la production d’anticorps.
Quant à votre « proposition », vous savez pertinemment que c’est du délire parce que infaisable ! Vous me faites rire ! (sans émoticône !).
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@Legestr glaz
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« Legestr glaz 24 avril 10:19
@PaulAndréG (PàG)
Comprendre les interactions de la pollution avec l’organisme, c’est mieux appréhender la maladie et se donner les possibilités de la soigner. C’est comprendre que les infections respiratoires entrainent un déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite.
Je dis ça, je dis rien. Si vous voulez vous faire vacciner, ce n’est surtout pas mon problème. C’est tout ce que je dis. »
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Ok, je ne demande qu’à soigner le « déséquilibre « redox » qu’il vaudrait mieux rétablir au plus vite », mais plutôt qu’un développement scientifique, j’ai besoin de la prescription de Legestr glaz.... Du concret... alors quelle médecine m’administrer qui me tienne éloigné des traitements anti viraux ou des vaccins ? -
@PaulAndréG (PàG)
Votre santé est votre problème. Je donne des pistes de réflexion et vous en faites ce que vous voulez.
Vaccinez vous si cela vous chante. Ce n’est surtout pas mon problème. Que voulez vous que cela me fasse que vous suiviez des traitements anti viraux ou des vaccins ? C’est « votre » choix.
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@PaulAndréG (PàG)
En revanche vous pourriez vous intéressez à ceci ;
... « Les efforts de politique de santé publique et de réglementation aux États-Unis ont stimulé les innovations technologiques et contribué à réduire la pollution atmosphérique. Bien que les avantages pour la santé des fortes réductions de la pollution dans les grandes zones métropolitaines au XXe siècle soient largement reconnus, il existe une résistance politique aux mesures qui permettraient de réduire davantage la concentration de polluants tels que les PM 2,5, plus récemment par le biais d’exigences qui limitent l’évaluation des effets de la pollution atmosphérique sur la santé aux ensembles de données accessibles au public. Notre analyse nationale directe du fardeau de la mortalité due à la pollution aux PM 2,5, en utilisant des données accessibles au public et avec une gamme de modèles analytiques, indique que la pollution actuelle aux PM 2,5continue de contribuer à la mortalité et à la perte de longévité aux États-Unis, avec des dommages plus importants dans les comtés les plus pauvres. Nos résultats suggèrent qu’une nouvelle réduction de la pollution aux PM 2,5est susceptible de bénéficier à la santé de l’ensemble de la population américaine et de réduire les inégalités de santé. »...
Et je vous pris de noter ceci : « avec des dommages plus importants dans les comtés les plus pauvres ». Et oui, pourquoi ?http://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31335874/
Et puis encore ceci : ...« il existe une résistance politique aux mesures qui permettraient de réduire davantage la concentration de polluants »...
Par conséquent, les « virus » sont une arme redoutable au niveau politique. Ils permettent de cacher la poussière sous le tapis.
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@Legestr glaz
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Legestr glaz 24 avril 11:49
@PaulAndréG (PàG)
Votre santé est votre problème. Je donne des pistes de réflexion et vous en faites ce que vous voulez.
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Le prêcheur quotidien se dégonfle quand il s’agit de passer de la théorie à la pratique
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@Legestr glaz « Quant à votre « proposition », vous savez pertinemment que c’est du délire parce que infaisable ! »
En quoi te contaminer avec un virus qui d’après toi n’existe pas serait infaisable ?
Quand auras-tu le courage d’assumer tes délires ? Si les virus n’existent pas prouve donc enfin que tu ne risques rien à exposer une petite plaie au VIH ou à soigner des malades Ebola dans protection ?
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@pemile
C’est infaisable parce que je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez. En parlant de « délires » vous en tenez une sacrée couche.
Le « délire viral » consiste à faire croire aux populations que « l’effet cytopathique » dans les cultures virales est le fait de « méchants virus ». Mais cet effet cytopathique est le fait de la méthode de culture. Rien d’autre. C’est relativement facile à comprendre.
Et comme jamais aucune étude ne met en place de « contrôle négatif », tout ce qui est raconté sur les « effets cytopathiques » sont des âneries. Il suffirait que la « virologie » mette en place des « contrôles négatifs » pour s’apercevoir de leur méprise. Mais, trop d’argent à la clé. Alors on continue avec cette escroquerie !
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@Legestr glaz « C’est infaisable parce que je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez. »
UN SEUL POINT à satisfaire, un échantillon de sang séropositif !
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@Legestr glaz "Le « délire viral » consiste à faire croire aux populations que « l’effet cytopathique » dans les cultures virales est le fait de « méchants virus ». Mais cet effet cytopathique est le fait de la méthode de culture. Rien d’autre. C’est relativement facile à comprendre. Et comme jamais aucune étude ne met en place de « contrôle négatif »"
Ta SEULE expertise, répéter en boucle les mêmes âneries pendant des années !
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@Legestr glaz « je ne connais personne en mesure de satisfaire chaque point que vous évoquez »
Non, tu ne connais personne qui nie l’existence des virus et qui osera se contaminer avec VIH ou Ebola pour le prouver !
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@pemile
Allez, pour rire un peu : La France covidée, un asile à ciel ouvert -
@pemile
Le bon lien :
Allez, pour rire un peu : La France covidée, un asile à ciel ouvert -
@Francis, agnotologue « Allez, pour rire un peu »
Merci, mais je préfère le Gorafi que Tocsin-media !
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@pemile
Donnez le moi et qu’on en parle plus !
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@pemile
Non ce n’est pas mon « expertise ». Parce que, voyez vous, il suffit de produire ici même, une seule étude, pas deux, pas trois, mais « une seule » étude, dans une recherche virale, qui évoque la mise en place d’un « contrôle négatif ».
Si vous aimez être abusé, moi pas ! Tenez donc pour vrai que c’est un « méchant virus » qui provoque l’effet cytopathique. Mais de ceci il n’existe strictement aucune preuve. Et lorsque l’on veut « prouver, en science, l’existence » de « quelque chose », on en apporte des « preuves irréfutables ».
Comme j’ai eu l’occasion de vous l’écrire : vous êtes dans une impasse parce qu’il vous est impossible de prouver, comme toute la virologie d’ailleurs, que l’effet cytopathique, « attribué par hypothèse » à un « méchant virus », n’est pas le résultat de la méthode ! (emploi d’antibiotiques, emploi d’agents chaotropiques, cellules extraites de leur milieu naturel, etc).
Tant que vous n’aurez pas produit « ici », une étude, n’importe laquelle, indiquant dans le séquençage d’un génome viral un « contrôle négatif », vous n’aurez rien prouvé. Et c’est pas demain la veille que cela va se produire parce que ces études n’existent pas. Et pour cause : les virus sont des « artefacts biologiques » ! Et la virologie est une pétition de principe, une énorme escroquerie !
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@PaulAndréG (PàG)
Vous écrivez : « Le prêcheur quotidien se dégonfle quand il s’agit de passer de la théorie à la pratique ».
Vous n’êtes pas dans mon carnet de rendez-vous. Désolé !
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@Legestr glaz " il vous est impossible de prouver, comme toute la virologie d’ailleurs, que l’effet cytopathique, « attribué par hypothèse » à un « méchant virus », n’est pas le résultat de la méthode ! "
Toujours fâché avec le scandale du sang contaminé, explique nous l’effet des dépistages des donneurs (test Elisa ou Abbott) imposés par certains pays, et comment agit le chauffage des lots ? -
@pemile
Répondez donc à la question qui vous fâche tant ! Il n’existe aucune étude de séquençage viral qui montre la mise en place d’un « contrôle négatif ». Alors que ce point est « fondamental » aucune étude de séquençage viral ne met en place de contrôle négatif pour s’assurer que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat ! Un comble ! Un biais méthodologique rédhibitoire !
On peut dire que sans l’existence de preuve, les virus sont de simples « artefacts biologiques ». Il appartient aux expérimentateurs de prouver l’inverse ! Et comme toutes les maladies « attribuées à des virus » trouvent une explication dans d’autres phénomènes, il suffit pour cela d’utiliser le principe du rasoir d’Ockham, alors il ne reste rien à cette pseudo science qu’est la virologie : une arnaque démoniaque qui rapporte un fric fou !
Vous avez carte blanche pemile pour trouver une « seule » étude qui aborde le sujet du « contrôle négatif ». La virologie est un « sophisme scientifique », la virologie est une escroquerie, la virologie est une pétition de principe.
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@Legestr glaz
.« Legestr glaz 24 avril 18:47
@pemile
Répondez donc à la question qui vous fâche tant ! Il n’existe aucune étude de séquençage viral qui montre la mise en place d’un « contrôle négatif ». Alors que ce point est « fondamental » aucune étude de séquençage viral ne met en place de contrôle négatif pour s’assurer que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat ! Un comble ! Un biais méthodologique rédhibitoire ! »
—PaulAndréG (PàG) 22 avril 08:51
@Legestr glaz
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« La virologie est une pseudo science qui devrait disparaitre. »
.
Mais l’anti-virologie est une maladie chronique avec des poussées quotidiennes qui se manifestent par une logorrhée écrite mono maniaque"
.mais le Docteur Legestr glaz se débine dès qu’on lui demande un peu de précision sur les traitements qu’il préconise
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@PaulAndréG (PàG)
..
« mais le Docteur Legestr glaz se débine dès qu’on lui demande un peu de précision sur les traitements qu’il préconise »
.
à défaut d’article sur Avox, il nous annonçait une parution !?
.
j’en pince à l’avance ! -
@pemile
Parlons donc des tests ELISA et Abbott, pemile, comme vous ne les avez jamais vus !
Rappel. Le « génome » du VIH, tel qu’on le connaît, est une construction bio-informatique et cela se passe comme ça :
On extrait du matériel génétique (ARN) à partir d’échantillons biologiques contenant « potentiellement » du VIH. Sans aucune « contrôle négatif » !
Ce matériel est fragmenté, puis séquencé en petits morceaux.
Les séquences obtenues sont ensuite assemblées par bio-informatique grâce à des algorithmes qui exploitent les chevauchements entre fragments pour reconstituer une séquence consensus du génome viral. Cette séquence consensus est une représentation du génome, mais elle dépend de la qualité de l’assemblage, de la couverture des fragments, et des choix algorithmiques.
Une fois le génome du VIH assemblé par bio-informatique, les régions qui codent pour les protéines virales majeures sont identifiées. Comme VIH-1 et VIH-2. C’est ce que recherchent les tests ELISA et Abbott.
Et ainsi nous voyons apparaitre la « pétition de principe ». Ces protéines VIH-1 et VIH2 sont des « créations » bioinformatiques à partir d’une séquence spécifique du génome viral. Mais ce génome viral n’existe pas dans la réalité : c’est, comme dit précédemment, une assemblage bioinformatique.
Ainsi les tests ELISA et Abbott recherchent des protéines synthétisées « de novo » par bio-informatique.Résumé : Les protéines utilisées dans les tests ELISA et Abbott ne proviennent pas directement de « virus isolés », mais sont produites artificiellement à partir de séquences génétiques obtenues et interprétées par bioinformatique.
Dans le cas du VIH, et de tous les autres virus, l’attribution des effets cytopathiques, ou même de la présence de matériel génétique, à un agent viral spécifique, repose sur une hypothèse : que les modifications observées (morphologie cellulaire, effets cytopathiques, détection de fragments d’ARN/ADN) sont causées par le virus recherché, et non par d’autres facteurs (méthode, milieu, contaminants, etc.).
Mais, sans « contrôle négatif » en amont, il est impossible d’exclure que la méthode, le milieu de culture, ou des manipulations techniques ne produisent pas, à eux seuls, des effets similaires à ceux attribués au « virus ».
C’est pourquoi, en méthodologie scientifique rigoureuse : le contrôle négatif devrait être « systématique » à chaque étape clé, notamment lors de la mise en culture, pour démontrer que les résultats ne sont pas des artefacts. Mais ce « contrôle négatif » n’existe pas, il n’est « jamais » réalisé ! L’absence de contrôle négatif, à ce premier stade, affaiblit toute la procédure et laisse ouverte la possibilité d’un biais expérimental majeur.La virologie est une « pétition de principe », une escroquerie d’une très grande ampleur.
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@PaulAndréG (PàG)
Oui, je vais faire paraitre un livre. J’ai d’ailleurs trouvé un éditeur.
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@PaulAndréG (PàG)
Puisque vous insistez, je veux bien vous communiquer quelques renseignements sur votre alimentation, en lien avec votre santé, afin de réparer votre organisme, s’il en a besoin.
Il faudrait savoir ce que vous recherchez ? D’où partez vous ? Quels sont vos bilans ? Par exemple, souffrez-vous de comorbidités ? Avez vous de l’hypertension ? Du diabète ? Une hyperglycémie ? Etes vous en surpoids ou obèse ? Avez vous développé l’apnée du sommeil ? Vous arrive t-il toujours d’avoir des érections nocturnes ? Votre prostate fonctionne t-elle correctement ? Etes vous souvent enrhumé ?
Renseignez moi et après je vous guiderai vers une alimentation adaptée.
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@Legestr glaz
votre explication permet de comprendre pourquoi les tests PCR ont réagi positivent à des choses aussi variées que des poires ou des bananes.
Je crois qu’un chef d’État africain a payé très cher pour l’avoir divulgué publiquement. -
@Legestr glaz " Il n’existe aucune étude de séquençage viral qui montre la mise en place d’un « contrôle négatif ». Alors que ce point est « fondamental » aucune étude de séquençage viral ne met en place de contrôle négatif pour s’assurer que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat ! "
Un contrôle négatif du séquençage ??!!
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@Legestr glaz « informatique grâce à des algorithmes qui exploitent les chevauchements entre fragments pour reconstituer une séquence consensus du génome »
Exactement comme en médecine légale pov’ clown !
" il est impossible d’exclure que la méthode, le milieu de culture, ou des manipulations techniques ne produisent pas, à eux seuls, des effets similaires à ceux attribués au « virus »."
C’est ça ta réponse à cette question ???!!!Toujours fâché avec le scandale du sang contaminé, explique nous l’effet des dépistages des donneurs (test Elisa ou Abbott) imposés par certains pays, et comment agit le chauffage des lots ?
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@Legestr glaz
Une consultation gratuite sur AVox avec un repas offert comme pour les don de sang ?
Par exemple, souffrez-vous de comorbidités ?
NonAvez vous de l’hypertension ?
NonDu diabète ?
NonUne hyperglycémie ?
NonEtes vous en surpoids ou obèse ?
NonAvez vous développé l’apnée du sommeil ?
NonVous arrive t-il toujours d’avoir des érections nocturnes ?
OuiVotre prostate fonctionne t-elle correctement ?
OuiEtes vous souvent enrhumé ?
Non -
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@pemile
N’importe quoi ! « clown pitoyable ».
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@pemile
Vous êtes donc en bonne santé. Passez votre tour ! Cela vous donnera du temps pour rechercher les études de séquençage viral avec « contrôle négatif ».
Allez, au boulot pemile !
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@Legestr glaz « Vous êtes donc en bonne santé. »
Mais toute personne bien portante est un malade qui s’ignore, quelle potion pourra enfin m’ouvrir les yeux sur ces artefacts de virus, sauvez moi ! -
@Legestr glaz « Cela vous donnera du temps pour rechercher les études de séquençage viral avec « contrôle négatif ». »
Le remède sera une thérapie par le rire ?
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@pemile
coupé-collé : « quelle potion pourra enfin m’ouvrir les yeux sur ces artefacts de virus, sauvez moi ! » La réponse est dans la question !
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@pemile
« Le remède sera une thérapie par le rire ? »Si c’est le sens sémantique que tu interpretais de « Négationnisme » vs @Legestr glaz
, cad pas du tout ce sens la que je rappelle ci dessous
mais la version illuminée pemilenne sauf si tu insinue que L G est antisémite"Doctrine niant la réalité du génocide des Juifs par les nazis, notamment l’existence des chambres à gaz. (
Le terme de négationnisme s’emploie, par extension, à propos d’autres génocides ou de certains massacres à grande échelle.)
---
Je crois qu’il ne faut pas insiter tant la barre de rire fut grandiose malgré tes éffacement succesifs de tes posts ...
J’espere que tu est meilleur en biologie qu’en comprehention de ta propre langue de ton pays
quoique est-ce la France ou l’Ukraine ?
A lire ta prose, n’importe quel lecteur qui ne te connais pas au vu de tes ecrits sur bleu ou meme ici choisira la seconde option pour ta patrie.... -
@pemile
"Mais toute personne bien portante est un malade qui s’ignore,"
C’est pourtant bien ce qui nous etais vendu
comme de se vacciner à plus de 60% stopperai net la propagation de la terribleuuuu épidémie ou nous devions tous mourriirrrreeeuu
enfin ...de peur surtout pour mieux manipuler une population crédule dans ton genre qui passes son temps à colporter quazi toutes les âneries comme certains autres au cerveau lobomtomisé par LCI, TF1 , F Inter, F Info, RTL , etc ...
bref quazi tous les meRdias aux ordres !
Perdrais tu aussi la mémoire ?
Ignare, illétré et qui perd la boule
Cumulard semble le mot juste -
pemile
Copié-collé : « @Legestr glaz « informatique grâce à des algorithmes qui exploitent les chevauchements entre fragments pour reconstituer une séquence consensus du génome » Exactement comme en médecine légale pov’ clown !
Clown toi même pemile, incapable de comprendre que la médecine légale utilise la démarche »inverse« . Mais pemile ne s’en rend pas compte.
Les prélèvements, pour l’exemple, sur les auteurs de crime et délit, permettent de constituer le fichier national automatisé des empreintes génétiques -FNAEG-.
Exemple : pemile est condamné définitif dans une affaire délictuelle. Un prélèvement sera effectué sur ce délinquant et ce prélèvement sera séquencé pour déterminer le »profil génétique« de pemile. Et ce profil génétique rejoindra la base de données nationale des profils génétiques.
Et si donc pemile récidive et qu’il laisse une trace quelconque sur les lieux de son méfait, cette trace sera exploitée. L’ADN en sera extrait et comparé à la base de données. Et c’est ainsi que pemile sera »identifié« . Il aura été assez stupide pour laisser sur place des traces de son passage.
Avec les »virus-artefacts« , nous sommes très exactement dans le cas »inverse« .
Les chercheurs »supposent« que c’est un virus qui provoquent la maladie. Ils mettent en culture un prélèvement obtenu sur un malade, le font »macérer« avec des cellules animales (VERO et sérum foetal bovin), des antibiotiques, des agents chaotropiques. Il se passe une lyse cellulaire (destruction cellulaire). Cet effet est attribué, »par hypothèse« , à l’activité »virale« . Les chercheurs identifient dans la »soupe« de la culture, des fragments d’ADN ou de d’ARN qu’ils attribuent »par hypothèse« à du matériel viral. Les dits fragments sont »assemblés« par la bioinformatique pour constituer un génome en utilisant les »caractéristiques« de génomes précédemment découverts (mais toujours selon ce même processus). Et voici, voilà : le »génome« constitué, prêt à rejoindre la base de données des virus.
Contrairement au fragment découvert sur les lieux de l’infraction commise par pemile, qui est bien le sien, qui représente bien des »cellules de pemile« (sang ou sperme), les fragments découverts dans la »culture-soupe« que les chercheurs examinent, sont attribués »par hypothèse« à du matériel viral.
A partir de ces »fragments« les chercheurs vont synthétiser par la bioinformatique un génome. Dans le cas de pemile, son génome est »préalablement connu« grâce au prélèvement qui a été effectué sur sa personne après avec commis une infraction. Dans le cas des »virus-artefacts« rien n’est connu. Ce sont des fragments d’ADN ou d’ARN qui sont »rassemblés« pour constituer un génome. Le fragment d’ADN de pemile est comparé avec des profils génétiques parfaitement fiables parce qu’obtenus selon des critères connus. Le »fragment« d’ADN de pemile retrouvé sur les lieux de l’infraction ne via pas servir à »constituer le génome de pemile« ! Il va être comparé avec des profils génétiques de la base de données. Et »bingo« c’est pemile qui est identifié ! Et si l’on compare les fragments d’ADN ou d’ARN de la »soupe-culture« avec des génomes enregistrés dans la base de données des virus, il faut bien avoir à l’esprit que ces génomes sont tous, sans aucune restriction, des »assemblages de fragments« regroupés par la bioinformatique en génomes ! Parce que contrairement au prélèvement effectué sur la personne de pemile après sa condamnation définitive, dont on est absolument certain qu’il s’agit de pemile, et que le profil génétique qui va en sortir sera »pémilien« , les profils génétiques des »virus-artefacts« sont tous, sans exception, des »reconstitutions par bioinformatique« , parce que jamais un virus n’a pu être isolé dans son intégralité. Avec les »virus" c’est hypothèse, supposition et raisonnement circulaire !
Voilà pemile, remettez votre gros nez rouge !
-
@pemile
Pour vous préciser quand même, ainsi qu’aux autres lecteurs, que les protéines du VIH, (VIH-1 ou VIH-2) sont des protéines « synthétiques », comme l’est la « protéine spike ». Ce sont des protéines « fabriquées » par la bioinformatique. C’est dément, mais c’est ça la réalité ! Mais les populations ne le savent pas. Elles ne savent pas que ces protéines (spike ou VIH-1 ou VIH-2 -gp41, gp120, p24-) sont des protéines de synthèse !
La production d’anticorps est une réaction normale du système immunitaire à tout antigène perçu comme « étranger ». Il n’y a rien d’étonnant à ce qu’on retrouve des anticorps chez quelqu’un exposé à des protéines de « synthèse », dites « virales », sans que cela implique l’existence d’un « virus réplicatif ».
« Toute protéine du « non-soi », introduite dans la circulation sanguine, provoque des anticorps. ». Ce principe universel d’immunologie est oublié et négligé quand on interprète les tests VIH. Si une personne produit des anticorps contre des protéines recombinantes injectées ou exposées via d’autres voies, cela n’implique pas qu’un virus réplicatif a envahi l’organisme. Ainsi, si on injecte de l’ovalbumine (protéine de blanc d’œuf) à une souris : elle va produire des anticorps. On ne conclut pas à une « infection à l’ovalbumine » ! Ce qui veut dire que les anticorps attribués spécifiquement au VIH peuvent parfaitement bien être des anticorps qui réagissent à d’autres protéines (comme c’est le cas en situation de maladies auto-immunes).
La production d’anticorps est une réaction normale à toute exposition à une protéine étrangère. Ce n’est pas une preuve en soi d’une infection active, encore moins d’un virus pathogène. Ce qui est interprété, ce n’est pas la réaction elle-même, mais ce qu’on suppose qu’elle signifie.N’est-ce pas pemile !
-
@Legestr glaz
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« Legestr glaz 25 avril 08:31
@pemile
Pour vous préciser quand même, ainsi qu’aux autres lecteurs, »
.
« Ainsi qu’aux autres lecteurs ?! » -
@Legestr glaz « incapable de comprendre que la médecine légale utilise la démarche »inverse« »
Ben non, les techniques de séquençage sont les mêmes, et bien plus complexe car la longueur du génome des virus est de quelques kilobases et de quelques gigabases pour les eucaryotes. -
@Legestr glaz « C’est dément, mais c’est ça la réalité ! Mais les populations ne le savent pas »
wiwi, quel dommage que AVox ne soit toujours pas reconnu comme revue scientifique de référence ! -
@Legestr glaz « parce que jamais un virus n’a pu être isolé dans son intégralité. »
Et c’est toi qui osait utiliser Enders, prix Nobel pour avoir simplifié la mise en culture de virus en 1949, pour nous vendre tes âneries sur l’inexistence des virus !!!
-
@Legestr glaz
Quant à ta fuite pitoyable concernant l’affaire du sang contaminé non chauffé et des mesures de dépistages, on la laisse sous le tapis ?
-
@Legestr glaz
Et après avoir proposé une explication pour le sang contaminé, tu voudras bien te pencher sur le fait que la science prouve que « le corps d’un homme adulte sain abrite plus de trois mille milliards de virus » et que « 300 millions de bases de notre génome sont d’origine virale » ?
-
@pemile
Je vois à votre réponse que vous ne comprenez pas. Tant pis pour vous. -
@Legestr glaz « Je vois à votre réponse que vous ne comprenez pas. Tant pis pour vous. »
Tu ne vois rien du tout, tu tournes le dos pour fuir en courant toute question !
-
@PaulAndréG (PàG)
Et bien puisque vous êtes là, et que nous sommes seuls, comme vous me le faites aimablement remarquer, je vous rappelle que je vous ai écrit ceci, sans réponse de votre part :
... « Puisque vous insistez, je veux bien vous communiquer quelques renseignements sur votre alimentation, en lien avec votre santé, afin de réparer votre organisme, s’il en a besoin.
Il faudrait savoir ce que vous recherchez ? D’où partez vous ? Quels sont vos bilans ? Par exemple, souffrez-vous de comorbidités ? Avez vous de l’hypertension ? Du diabète ? Une hyperglycémie ? Etes vous en surpoids ou obèse ? Avez vous développé l’apnée du sommeil ? Vous arrive t-il toujours d’avoir des érections nocturnes ? Votre prostate fonctionne t-elle correctement ? Etes vous souvent enrhumé ?
Renseignez moi et après je vous guiderai vers une alimentation adaptée. »...
A moins que votre insistance ne fut d’une futilité ?
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@pemile
Je vois surtout, à votre réponse, que vous n’avez rien compris. Que voulez vous, chacun à ses limites.
Par ailleurs, où en êtes vous de vos recherches assidues sur les contrôles négatifs mis en place pour avoir l’assurance que ce n’est pas la méthode qui produit le résultat dans les culture cellulaires destinées à identifier des « virus » ?
Vous m’inquiétez avec votre silence soutenu ! Est-ce que vous ne trouvez rien et que, finalement, que tout ceci n’est que du vent ? L’étau s’est resserré sur vos rodomontades.
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@Legestr glaz « Je vois surtout, à votre réponse, que vous n’avez rien compris »
Du tout, et ta fuite pitoyable prouve au contraire que tu as bien compris que tes âneries ne tiennent pas le route et que tes biais sont épuisés !
-
@Legestr glaz
.
"Legestr glaz 25 avril 15:06
@PaulAndréG (PàG)
Quels sont vos bilans ? Par exemple, souffrez-vous de .../../...
Renseignez moi et après je vous guiderai vers une alimentation adaptée. »-
Docteur, je suis allergique au homard bleu qui s’incruste quotidiennement et longuement, sur un éternel et récurent sujet, sous les articles d’auteurs qui se passeraient bien de ses coms hors sujet.
.
Docteur, c’est bien vous qui avez la solution ! -
@PaulAndréG (PàG)
.à la demande du Docteur Legestr glaz, je lui confie ma pathologie :
-
« Docteur, je suis allergique au homard bleu qui s’incruste quotidiennement et longuement, sur un éternel et récurent sujet, sous les articles d’auteurs qui se passeraient bien de ses coms hors sujet. »
-
en espérant, comme il me l’a assuré, une prescription de sa part… quelle déception, pourtant, lui seul a la solution -
@PaulAndréG (PàG)
.
.
« à la demande du Docteur Legestr glaz, je lui confie ma pathologie en espérant, comme il me l’a assuré, une prescription de sa part… quelle déception ! »
.
D’autres auteurs subiront demain ses longs développements hors sujet, sous leurs articles.
-
Il est temps qu’il nous propose des articles de sa plume sur Avox, avant de faire la promotion de son bouquin, plutôt que de squatter -
@PaulAndréG (PàG)
.
« à la demande du Docteur Legestr glaz, je lui confie ma pathologie en espérant, comme il me l’a assuré, une prescription de sa part… quelle déception ! »
D’autres auteurs subiront demain ses longs développements hors sujet, sous leurs articles.
.
Je fais amende honorable, car je viens de réaliser le tort que je fais à Avox en brocardant le sachant Legestr glaz qui assure avec Pemile une grande partie de l’animation du siteps : Cassande G bénéficie de tous ces hors-sujets… ça cartonne !
-
@PaulAndréG (PàG)
Désolé, mais j’étais occupé ailleurs. Vous n’allez pas m’en vouloir n’est-ce pas ?
N’en mangez pas de homard, c’est pas bon ! C’est assez simple non ?
Quant à mes articles, je ne vais pas me fatiguer à en écrire pour les voir refusés les uns après les autres. Ce que je dévoile est inconvenant, pensez donc ma bonne dame ! Il ne faudrait pas que « les gens » découvrent une vérité qui dérange.... les faiseurs de profits pharmaceutiques.
Il faut en rester aux bonnes vieilles méthodes pour rester en bonne santé : de bons vaccins ; des oméga3, des céréales complètes, 5 fruits et légumes par jour, de la pratique sportive quotidienne, pas d’acides gras saturés, pas trop de sel. 40%-60% de l’énergie venant des glucides, 15%-20% venant des protéines et le reste des lipides.
Voyez vous, avec ça, il n’y aura plus de maladies métaboliques, plus de maladies civilisationnelles, plus de comorbidités, plus de surpoids, plus d’obésité. C’est merveilleux. Suivez donc ces recommandations officielles qui réussissent si bien à maintenir les populations en bonne santé.
J’espère que j’aurai répondu à vos attentes.
-
@pemile
Non vous n’avez rien compris ! Donc, je poste à nouveau : mieux vaut deux fois qu’une !
pemile
Copié-collé : « @Legestr glaz « informatique grâce à des algorithmes qui exploitent les chevauchements entre fragments pour reconstituer une séquence consensus du génome » Exactement comme en médecine légale pov’ clown !
Clown toi même pemile, incapable de comprendre que la médecine légale utilise la démarche »inverse« . Mais pemile ne s’en rend pas compte.
Les prélèvements, pour l’exemple, sur les auteurs de crime et délit, permettent de constituer le fichier national automatisé des empreintes génétiques -FNAEG-.
Exemple : pemile est condamné définitif dans une affaire délictuelle. Un prélèvement sera effectué sur ce délinquant et ce prélèvement sera séquencé pour déterminer le »profil génétique« de pemile. Et ce profil génétique rejoindra la base de données nationale des profils génétiques.
Et si donc pemile récidive et qu’il laisse une trace quelconque sur les lieux de son méfait, cette trace sera exploitée. L’ADN en sera extrait et comparé à la base de données. Et c’est ainsi que pemile sera »identifié« . Il aura été assez stupide pour laisser sur place des traces de son passage.
Avec les »virus-artefacts« , nous sommes très exactement dans le cas »inverse« .
Les chercheurs »supposent« que c’est un virus qui provoquent la maladie. Ils mettent en culture un prélèvement obtenu sur un malade, le font »macérer« avec des cellules animales (VERO et sérum foetal bovin), des antibiotiques, des agents chaotropiques. Il se passe une lyse cellulaire (destruction cellulaire). Cet effet est attribué, »par hypothèse« , à l’activité »virale« . Les chercheurs identifient dans la »soupe« de la culture, des fragments d’ADN ou de d’ARN qu’ils attribuent »par hypothèse« à du matériel viral. Les dits fragments sont »assemblés« par la bioinformatique pour constituer un génome en utilisant les »caractéristiques« de génomes précédemment découverts (mais toujours selon ce même processus). Et voici, voilà : le »génome« constitué, prêt à rejoindre la base de données des virus.
Contrairement au fragment découvert sur les lieux de l’infraction commise par pemile, qui est bien le sien, qui représente bien des »cellules de pemile« (sang ou sperme), les fragments découverts dans la »culture-soupe« que les chercheurs examinent, sont attribués »par hypothèse« à du matériel viral.
A partir de ces »fragments« les chercheurs vont synthétiser par la bioinformatique un génome. Dans le cas de pemile, son génome est »préalablement connu« grâce au prélèvement qui a été effectué sur sa personne après avec commis une infraction. Dans le cas des »virus-artefacts« rien n’est connu. Ce sont des fragments d’ADN ou d’ARN qui sont »rassemblés« pour constituer un génome. Le fragment d’ADN de pemile est comparé avec des profils génétiques parfaitement fiables parce qu’obtenus selon des critères connus. Le »fragment« d’ADN de pemile retrouvé sur les lieux de l’infraction ne via pas servir à »constituer le génome de pemile« ! Il va être comparé avec des profils génétiques de la base de données. Et »bingo« c’est pemile qui est identifié ! Et si l’on compare les fragments d’ADN ou d’ARN de la »soupe-culture« avec des génomes enregistrés dans la base de données des virus, il faut bien avoir à l’esprit que ces génomes sont tous, sans aucune restriction, des »assemblages de fragments« regroupés par la bioinformatique en génomes ! Parce que contrairement au prélèvement effectué sur la personne de pemile après sa condamnation définitive, dont on est absolument certain qu’il s’agit de pemile, et que le profil génétique qui va en sortir sera »pémilien« , les profils génétiques des »virus-artefacts« sont tous, sans exception, des »reconstitutions par bioinformatique« , parce que jamais un virus n’a pu être isolé dans son intégralité. Avec les »virus" c’est hypothèse, supposition et raisonnement circulaire !
Voilà pemile, remettez votre gros nez rouge !
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@Legestr glaz « mieux vaut deux fois qu’une ! »
C’est plutôt dix fois qu’une mais répéter en boucle les mêmes conneries ça vire au gâtisme non ? -
@pemile
Je suis loin d’être au niveau des campagnes de vaccination, en terme de répétition et de promotion. Vous savez ces campagnes de vaccination qui sauvent des vies ! Qui protègent des « méchants virus ». C’est terrible ces virus qui ôtent les vies des plus fragiles.
Je ne vous remercierai jamais assez de servir de clown blanc ici sur Agoravox !
-
@Legestr glaz
Ce soir, c’est imodium pour le Dr Legestr g…
La consultation est offerte, pour stopper l’écoulement verbal -
@Legestr glaz « C’est terrible ces virus qui ôtent les vies des plus fragiles. »
Continu à cracher sur les vies des victimes du sang contaminé, ça fera le buzz pour la promotion de ton livre ?
-
@pemile
Vous n’en saurez rien de la sortie de ce livre. C’est pas ici que j’en ferai de la pub.
Quant au sang contaminé, nous en avons largement parlé. Ce sont les hémophiles qui ont payé un lourd tribu à cette affaire. Petit retour en arrière.
... Puisqu’il faut vous mettre des points sur les « i », pemile !
Les hémophiles ont été les principales victimes de l’affaire du sang contaminé. Et ce sang contaminé, venant de personnes intoxiquées au nitrite d’amyle, comportait cette molécule toxique et sans doute d’autres toxines « récréatives ».
En 1983 les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ont été interdits de donner leur sang, parce que celui ci avait des probabilités d’être infecté par le nitrite d’amyle. Ces HSH présentaient un « groupe à risque ».
Un hémophile est une personne qui est déjà en danger concernant sa santé en relation avec la qualité de son sang. S’il lui est « ajouté » du nitrite d’amyle, alors les risques de mauvaise santé augmentent considérablement. Le nitrite d’amyle a des effets vasodilatateurs et peut causer une immuno-dépression transitoire. Ses effets incluent une baisse de la réponse immunitaire.
L’absence de recherches approfondies sur les substances toxiques présentes dans les produits sanguins, telles que les drogues récréatives ou autres substances, est un aspect qui a été négligé dans le cadre de l’affaire du sang contaminé.
Dans cette affaire, l’accent a été mis principalement sur les « pathogènes », notamment le VIH et l’hépatite C, comme causes principales des infections et des maladies graves qui ont affecté les personnes transfusées. L’impact d’autres facteurs de risque, comme la présence de toxines provenant de comportements à risque (comme la consommation de drogues récréatives), a été largement ignoré, voire négligé, dans les enquêtes et les recherches de l’époque.
Les symptômes observés dans les deux groupes (Hommes ayant des relations Sexuelles avec des Hommes consommant du nitrite d’amyle et les patients transfusés contaminés) présentent de nombreuses similarités, comme les infections opportunistes, les pneumonies, les mycoses et les tumeurs rares comme les sarcomes de Kaposi. Cela suggère que les effets immunosuppresseurs du nitrite d’amyle pourraient être en corrélation avec les symptômes constatés dans les deux groupes.
Mais, il faut bien se rendre compte de ce qui s’est passé. Par la suite, les personnes étaient testées par PCR. Et, même sans aucun symptôme, elles étaient déclarées « séropositives ». Et alors elles recevaient un traitement de choc, pour les « sauver ». Et ce « traitement de choc » avait des effets secondaires terribles qui rendaient les gens malades. Le scandale du sang contaminé c’est donc ça aussi. Elle n’est pas belle la vie en absurdistan ?
... « Les effets secondaires de ces traitements antirétroviraux ont souvent été graves et ont aggravé l’état de santé des patients, y compris des symptômes comme des réactions neurologiques, des troubles digestifs sévères, et des problèmes métaboliques tels que la lipodystrophie, des troubles cardiaques, voire des lésions hépatiques. »...
« Amyl nitrite alters human in vitro immune function »
http://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1685501/... « Le plus important producteur de ce médicament à base de nitrite d’amyle est le géant pharmaceutique Burroughs Welcome. Les inscriptions de la boîte de »Vaporole« indiquent clairement de chaque côté du couvercle, « POISON ». Curieusement, Burroughs Welcome est aussi le futur fabricant de l’AZT. L’AZT est ce médicament antiviral longtemps vanté comme la seule thérapie pour lutter contre le sida. Pourtant, l’AZT n’a jamais guéri personne ; il a surtout déclenché une vaste polémique à cause de ses effets secondaires excessivement toxiques. »...
Voilà pemile, il y a des « entités » qui amassent de l’argent et font de colossaux profits sur le dos de braves gens en les déclarant atteints du SIDA, même s’ils sont totalement asymptômatiques. Mais il faut absolument les soigner à l’aide de médicaments couteux. Il n’y a pas de « petits bénéfices », n’est-ce pas pemile ? Et c’est vous qui venez donner des leçons de morale ? Vous percevez quelques miettes de ce commerce détestable ? -
@PaulAndréG (PàG)
Je fais comme je veux.
Méfiez vous de l’exercice illégal de la médecine. L’imodium est un médicament. Vous êtes docteur PaulAndréG(PàG) pour faire des prescriptions de ce genre ? -
@Legestr glaz
’’Vous n’en saurez rien de la sortie de ce livre. C’est pas ici que j’en ferai de la pub. ’’
— >
Quand même, je voudrais bien en être averti par un moyen ou un autre.
-
@Legestr glaz
Vous n’en saurez rien de la sortie de ce livre. C’est pas ici que j’en ferai de la pub.
Ben alors où ? Y a pas plus comploplo qu’Agogovox...
Ou alors la célèbre chaine des paranos : odyssée...
En tous les cas je n’achèterai pas. Faudrait même me payer pour que je le lise.
-
@Gollum
Vous avez bien raison. Bien des ouvrages existent qui vous expliquent comment vous maintenir en bonne santé. Parce que je ne parle « que de ça » ! Le maintien en « bonne santé » et un vieillissement sans perte d’autonomie.
Mais vous avez parfaitement raison Gollum, vous devez vous fier à la parole officielle sur les « grandes recommandations alimentaires », vous devez vous fier « aux grandes campagnes de vaccination » laquelle protège les populations.
C’est votre choix, et je le respecte. Je propose « autre chose », en rapport avec la réalité biologique.
Par exemple, je peux vous exposer ceci :Le « concept d’Aurea Mediocritas » appliqué aux constantes physiologiques montre que pour le pH et la température, l’organisme a les outils nécessaires pour maintenir un équilibre sans grand danger dans notre mode de vie (même pathologique). En revanche, pour la glycémie et l’équilibre « redox », l’environnement moderne a créé des situation inédites contre lesquelles l’organisme n’a aucun historique évolutif solide.
Et on assiste donc à la montée vertigineuse des syndromes métaboliques (diabète, obésité, hypertension), des maladies inflammatoires chroniques, des cancers (liés à l’oxydation chronique et au stress métabolique). Et c’est bien notre « environnement », pour faire simple ce que nous mettons dans la machine humaine, à savoir notre alimentation et l’air que nous respirons, qui sont à l’origine de nos déboires métaboliques.
C’est une alternative que je propose, que chacun pourra appréhender selon ses propres croyances et ses mises en perspective, une fois tout bien posé, en lien avec la réalité biologique.
-
@Gollum
’’Ben alors où ? Y a pas plus comploplo qu’Agogovox... ’’
— >
À cause de qui ? Suivez mon regard.
Les émojis rigolards sont à la pensée perverse et donc clivée ( : ’’faudrait me payer pour que je lise’’ sic) ce que les arguments sont à la pensée analytique, étayée et construite (ceci expliquant cela).
« C’est quoi la pensée perverse ? Prenons la pensée analytique ; retournons là ; et nous voyons la pensée perverse ». Racamier. -
@Francis, agnotologue
Bravo pour l’inversion accusatoire. À ce que je sache les cinglés remettant en cause les virus je n’en fais pas partie.
Et la petite citation habituelle pour faire plus cultivé que la moyenne...
(émoji rigolard)
-
@Gollum
’’ remettant en cause les virus je n’en fais pas partie. ’’
— >
La formule non amputée est : remettent en cause la prédominance des virus dans les causes des maladies respiratoires.
-
@Gollum
moi je ne viens pas ici pour emmerder le monde, contrairement aux pervers qui versent ensuite bruyamment des larmes de crocodile sur Agoravox. -
@Gollum
Copié-collé : « À ce que je sache les cinglés remettant en cause les virus je n’en fais pas partie. ».
Votre point de vue est intéressant et je voudrais bien le découvrir. Pourquoi croyez vous aux virus ? Qu’est-ce qui vous fait croire qu’ils existent ? Avez vous cherché à savoir ce qu’était la virologie ?Vous savez, pendant longtemps les physiciens et les mathématiciens ont adhéré à l’idée que le soleil tournait autour de la terre. Et ils expliquaient cela « scientifiquement » en utilisant la théorie des « épicycles ».
La théorie virale n’est qu’une théorie. Et, comme toute théorie, il est possible de la critiquer au plan scientifique. Et que disent les biologistes à ce sujet ? Ceux qui critiquent évidemment. Et bien que tous les génomes viraux déposés dans les banques de données des « virus » ont été obtenus par « assemblage bio informatique », sans qu’aucun contrôle négatif n’ait été mis en place. Et ceci est un biais méthodologique rédhibitoire !
Il appartient, par conséquent, à la « virologie » d’apporter un démenti à ce qui est dit sur les effets cytopathiques, qui ne sont « que » le résultat de la méthode employée. Si la virologie à des couilles, qu’elle les pose sur la paillasse et qu’elle démontre que les effets cytopathiques sont le fait de « virus ». Pour le moment ceci n’a jamais été réalisé. Les virus sont des « artefacts biologiques » et c’est à la virologie de démontrer que ceci n’est pas vrai. Parce que, lorsque l’on prétend quelque chose, comme « l’existence virale », alors on le démontre d’une manière scientifique, sans biais méthodologique !
Qui est « cinglé » pour croire aussi « aveuglément » à des études biaisées ?
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@Legestr glaz « Vous n’en saurez rien de la sortie de ce livre. C’est pas ici que j’en ferai de la pub. »
Je me doute bien que tu n’assumeras jamais le flot d’âneries que tu as postées ici !
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