• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Legestr glaz

sur Le Naufrage Mémoirel de l'Europe


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Legestr glaz Legestr glaz 25 avril 08:08

pemile

Copié-collé : « @Legestr glaz « informatique grâce à des algorithmes qui exploitent les chevauchements entre fragments pour reconstituer une séquence consensus du génome » Exactement comme en médecine légale pov’ clown !

Clown toi même pemile, incapable de comprendre que la médecine légale utilise la démarche »inverse« . Mais pemile ne s’en rend pas compte.

Les prélèvements, pour l’exemple, sur les auteurs de crime et délit, permettent de constituer le fichier national automatisé des empreintes génétiques -FNAEG-.

Exemple : pemile est condamné définitif dans une affaire délictuelle. Un prélèvement sera effectué sur ce délinquant et ce prélèvement sera séquencé pour déterminer le »profil génétique« de pemile. Et ce profil génétique rejoindra la base de données nationale des profils génétiques.

Et si donc pemile récidive et qu’il laisse une trace quelconque sur les lieux de son méfait, cette trace sera exploitée. L’ADN en sera extrait et comparé à la base de données. Et c’est ainsi que pemile sera »identifié« . Il aura été assez stupide pour laisser sur place des traces de son passage.

Avec les »virus-artefacts« , nous sommes très exactement dans le cas »inverse« .

Les chercheurs »supposent« que c’est un virus qui provoquent la maladie. Ils mettent en culture un prélèvement obtenu sur un malade, le font »macérer« avec des cellules animales (VERO et sérum foetal bovin), des antibiotiques, des agents chaotropiques. Il se passe une lyse cellulaire (destruction cellulaire). Cet effet est attribué, »par hypothèse« , à l’activité »virale« . Les chercheurs identifient dans la »soupe« de la culture, des fragments d’ADN ou de d’ARN qu’ils attribuent »par hypothèse« à du matériel viral. Les dits fragments sont »assemblés« par la bioinformatique pour constituer un génome en utilisant les »caractéristiques« de génomes précédemment découverts (mais toujours selon ce même processus). Et voici, voilà : le »génome« constitué, prêt à rejoindre la base de données des virus.

Contrairement au fragment découvert sur les lieux de l’infraction commise par pemile, qui est bien le sien, qui représente bien des »cellules de pemile« (sang ou sperme), les fragments découverts dans la »culture-soupe« que les chercheurs examinent, sont attribués »par hypothèse« à du matériel viral.

A partir de ces »fragments« les chercheurs vont synthétiser par la bioinformatique un génome. Dans le cas de pemile, son génome est »préalablement connu« grâce au prélèvement qui a été effectué sur sa personne après avec commis une infraction. Dans le cas des »virus-artefacts« rien n’est connu. Ce sont des fragments d’ADN ou d’ARN qui sont »rassemblés« pour constituer un génome. Le fragment d’ADN de pemile est comparé avec des profils génétiques parfaitement fiables parce qu’obtenus selon des critères connus. Le »fragment« d’ADN de pemile retrouvé sur les lieux de l’infraction ne via pas servir à »constituer le génome de pemile«  ! Il va être comparé avec des profils génétiques de la base de données. Et »bingo« c’est pemile qui est identifié ! Et si l’on compare les fragments d’ADN ou d’ARN de la »soupe-culture« avec des génomes enregistrés dans la base de données des virus, il faut bien avoir à l’esprit que ces génomes sont tous, sans aucune restriction, des »assemblages de fragments« regroupés par la bioinformatique en génomes ! Parce que contrairement au prélèvement effectué sur la personne de pemile après sa condamnation définitive, dont on est absolument certain qu’il s’agit de pemile, et que le profil génétique qui va en sortir sera »pémilien« , les profils génétiques des »virus-artefacts« sont tous, sans exception, des »reconstitutions par bioinformatique« , parce que jamais un virus n’a pu être isolé dans son intégralité. Avec les »virus" c’est hypothèse, supposition et raisonnement circulaire ! 

Voilà pemile, remettez votre gros nez rouge ! 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès