L’apostilleur

@ l’auteur 

« .le principe exprimé par la maxime latine »Cujus regio, ejus religio« (mot à mot : «  à qui appartient la région, de celui-là, la religion ») restitue à chaque État, sa religion et son prince pour se voir réaffirmée.. »

C’est plutôt l’inverse, « tel prince telle religion », un principe obtenu par les seigneurs protestants avec de bonnes raisons « pas très catholiques »

Une carte blanche pour imposer et faciliter les vocations protestantes des possédants et légaliser ses spoliations, les propriétés monasteres, eglises, propriétés fermes et biens attachés qui provenaient de donations des croyants, devenaient propriétés du prince dont les revenus n’étaient plus reversés à l’Eglise mais aux princes libérés des redevances et dont les terres et l’enrichissement progressaient considerablement.

Il faut avoir à l’esprit cet aspect mercantil quand on nous explique que le protestantisme s’est diffusé par les seigneurs du Moyen-Âge. 

Henri IV avait bien changé de religion pour une couronne, l’archétype du protestant avide.

@V_Parlier
« ..quand je vois l’arrogance des élites allemandes.. »
L’arrogance passe les frontières selon la santé économique de chacun.La France de Giscard avait imposé la Grèce à l’UE dont l’Allemagne ne voulait pas. 
Depuis Hollande nous a vendu « mon ennemi c’est la finance », à peine élu il s’est rendu en Allemagne où on lui a bien fait comprendre qu’il n’avait pas les moyens de ses déclarations. 
La France de Macron tente de reprendre la main, de là à envisager une claque...
A suivre

@Durand
Il est toujours difficile de convaincre par l’absurde 

@ l’auteur 

« ..Sous le couvert mensonger de l’amitié franco-allemande, les consciences de la résistance ont été endormies.. »

Les « consciences » vélléitaires oui sûrement, et on ne peut que s’en réjouir.

Pour une bonne raison, les allemands d’aujourd’hui n’ont aucune responsabilité dans ces conflits.

Pas plus que la majorité d’entre-nous en Algérie.

Il faudra tourner la page et arrêter ces commémorations dès que le dernier témoin de ces drames aura disparu, il mérite l’hommage de la nation. Elles entretiennent des rancœurs sous-jacentes malgré les maquillages, personne n’est dupe. Derrière la victoire sur l’Allemagne nazie, c’était la victoire sur l’Allemagne des « schleus », des « boshes » comme disaient ceux qui les avaient combattus sans distinction.

Le souvenir des guerres doit sortir des anniversaires de nos pays. Des défilés d’amitié festifs pourraient construire une amitié entre les peuples, les déclarations de bonnes intentions par quelques politiciens ne concernent que ceux qui sont invités au buffet.

Les bénéficiaires seraient aussi ces allemands qui se responsabilisent toujours des fautes héritées.

@Fergus
« ..Puisse cette rumeur prendre ferme et déboucher sur de réelles avancées sociétales.. »
Délicat. 
Laisser décider ceux qui sont concernés est préférable aux conseils de ses faux amis, des anticatholiques de tout poil et autres ennemis de cette institution millénaire qui œuvrent à sa destruction ou son démantèlement depuis des siècles. 
Rome est le cœur d’une histoire qui trouvera toujours des opposants, son chemin suit une obstination culturelle qui l’a sauvée jusqu’à aujourd’hui. 
On peut envisager une prêtrise ouverte aux femmes en laissant ceux qui ont conduit leur Eglise decider de son avenir. 
Les conseilleurs aux chemins de traverse n’ont pas grand chose à lui apprendre de leurs exemples.